Dans ce travail mensuel - qu’est notre cycle Docommentaires - de diffusion de documentaires sur la région et son conflit, mais aussi d’analyse et de compréhension de la façon dont est montrée la situation, les deux films que nous avons présenté au Centre culturel français ce mardi 28 avril ont une place particulière : d’une part par leur singularité, d’autre part pour leur style d’engagement.
Ismaël Elhabbash nous a fait l’honneur de nous laisser présenter en Première son tout nouveau film « We like life tomorrow » (2008 - 31 mn) qui, bien que fait avec un budget dérisoire, s’est avéré passionnant et a enchanté le correspondant de Reuters à Ramallah, Ali Sawafta. Ismaël Elhabbash a prêté une petite caméra vidéo a trois familles, de Gaza, Hébron et Jénine, et leur a demandé de filmer leur quotidien. Ce qui a donné trois séquences où sont racontés la beauté des liens familiaux, la modestie, l’espoir, la difficulté de la vie et ses joies : des récits de vie on ne peut plus normales, malgré la toile de fond faite d’occupation et d’humiliation. Un film très fort et très attachant.
Dans « Gaza souvenirs » (2007 – 46 mn), Sam Albaric raconte son amitié avec un Gazaoui, Wissam, et des liens tressés par le hasard et le défi. Mais ce qu’Albaric montre au-delà du personnage de Wissam et de ses amis, c’est la vie à Gaza, là encore faite de normalité, d’éclats de rires et de montée de peurs, d’amours filiales et d’amitié, de plaisanterie et d’inquiétudes… Un film très touchant, qui touche à fleur de peau cette réalité délicate et insoupçonnée : l’universalité de l’homme en l’Homme… Ce que les bombardements et les embargos voudraient faire oublier !
Ismaël Elhabbash nous a fait l’honneur de nous laisser présenter en Première son tout nouveau film « We like life tomorrow » (2008 - 31 mn) qui, bien que fait avec un budget dérisoire, s’est avéré passionnant et a enchanté le correspondant de Reuters à Ramallah, Ali Sawafta. Ismaël Elhabbash a prêté une petite caméra vidéo a trois familles, de Gaza, Hébron et Jénine, et leur a demandé de filmer leur quotidien. Ce qui a donné trois séquences où sont racontés la beauté des liens familiaux, la modestie, l’espoir, la difficulté de la vie et ses joies : des récits de vie on ne peut plus normales, malgré la toile de fond faite d’occupation et d’humiliation. Un film très fort et très attachant.
Dans « Gaza souvenirs » (2007 – 46 mn), Sam Albaric raconte son amitié avec un Gazaoui, Wissam, et des liens tressés par le hasard et le défi. Mais ce qu’Albaric montre au-delà du personnage de Wissam et de ses amis, c’est la vie à Gaza, là encore faite de normalité, d’éclats de rires et de montée de peurs, d’amours filiales et d’amitié, de plaisanterie et d’inquiétudes… Un film très touchant, qui touche à fleur de peau cette réalité délicate et insoupçonnée : l’universalité de l’homme en l’Homme… Ce que les bombardements et les embargos voudraient faire oublier !
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