Cette exposition “Construire” parachève 3 ans de travail de Patrick Galais sur la Palestine, trois années au cours desquelles il aura passé 7 mois sur place. L’enjeu affectif de cette exposition était donc considérable.
« Construire » est un magnifique exemple de « photographie documentaire », mouvement et style qui mettent la dimension humaine en avant dans toute démarche. Et si les photographies de Patrick Galais sont la plupart du temps vides de toute présence humaine, c’est parce que celle-ci se manifeste autrement et parfois avec bien plus de force : dans l’enchevêtrement de fers de constructions inachevées, dans un fauteuil vide et un peu bancal, dans un panneau publicitaire désuet, dans la poussière qui couvre un théâtre fermé, dans la vue minérale sur une rue déserte bordée de maisons de pierre… Le destin d’un peuple s’y raconte, avec ses drames, ses espoirs, ses possibles… Où comment transcrire ce qui se construit malgré la guerre et l’occupation. Il est question, là, sans aucun doute, d’une forme de résistance très forte et très belle.
Le public palestinien ne s’y est pas trompé et malgré l’abstraction de la démarche, sa difficulté parfois, l’exposition a remporté un très beau succès d’estime : l’unanimité s’est faite pour déclarer que Patrick Galais a saisi quelque chose de profond sur le fonctionnement de cette terre…
La municipalité de Ramallah, partenaire exemplaire, a accueilli cette exposition et l’Otman Court étant un immeuble souvent dédié aux activités para-scolaires, des visites d’écoles ont été organisées.
Enfin, le CCF a décidé de saisir l’opportunité de la présence de Patrick Galais pour exposer un travail personnel qu’il avait effectué, destiné à ses amis comme un carnet-souvenir de vacances, mais dont la poésie nous paraissait mériter d’être partagée : « 18 petites notes colorées ».
« Construire » est un magnifique exemple de « photographie documentaire », mouvement et style qui mettent la dimension humaine en avant dans toute démarche. Et si les photographies de Patrick Galais sont la plupart du temps vides de toute présence humaine, c’est parce que celle-ci se manifeste autrement et parfois avec bien plus de force : dans l’enchevêtrement de fers de constructions inachevées, dans un fauteuil vide et un peu bancal, dans un panneau publicitaire désuet, dans la poussière qui couvre un théâtre fermé, dans la vue minérale sur une rue déserte bordée de maisons de pierre… Le destin d’un peuple s’y raconte, avec ses drames, ses espoirs, ses possibles… Où comment transcrire ce qui se construit malgré la guerre et l’occupation. Il est question, là, sans aucun doute, d’une forme de résistance très forte et très belle.
Le public palestinien ne s’y est pas trompé et malgré l’abstraction de la démarche, sa difficulté parfois, l’exposition a remporté un très beau succès d’estime : l’unanimité s’est faite pour déclarer que Patrick Galais a saisi quelque chose de profond sur le fonctionnement de cette terre…
La municipalité de Ramallah, partenaire exemplaire, a accueilli cette exposition et l’Otman Court étant un immeuble souvent dédié aux activités para-scolaires, des visites d’écoles ont été organisées.
Enfin, le CCF a décidé de saisir l’opportunité de la présence de Patrick Galais pour exposer un travail personnel qu’il avait effectué, destiné à ses amis comme un carnet-souvenir de vacances, mais dont la poésie nous paraissait mériter d’être partagée : « 18 petites notes colorées ».
Patrick Galais a aussi animé de nombreux stages de sténopés, eu des rencontres pour la création d'un département de photographie à l'Université Ennajah de Naplouse et accepté des réunions de travail de reconnaissances avec ses confrères palestiniens.
Partenaire : Municipalité de Ramallah
Partenaire : Municipalité de Ramallah
Images à découvrir sur http://www.patrick-galais.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire