Ce fut là un très bel événement que le vernissage de l’exposition des photographies « Carnet de note en Palestine » de Véronique Vercheval, ce 13 avril 2009 au Centre Sakakini.
Une bonne soixantaine de personnes s’étaient déplacée pour l’occasion, malgré le fait qu’au même moment avait lieu le spectacle de clôture des Journées internationales Al Manara de théâtre au Kasaba.
Parmi le public, on aura pu croiser une Leïla Chahid particulièrement en verve et qui a expliqué dans un discours son attachement à Véronique Vercheval, le Consul général de Belgique à Jérusalem, Charles-Etienne Lagasse, directeur de Wallonie Bruxelles International ou le député et éditeur Serge Hustache. Etait encore présente une délégation d’architectes menées par Patrice Neirinck et venue pour la concours de la Palestinian Circus School. Beaucoup de projets se sont esquissés au cours de ce vernissage et des réseaux de relations se sont consolidés.
L’exposition, fort étoffée avec 80 images d’un format conséquent, atteint parfaitement les objectifs que s’était donnés la photographe pendant les 8 ans qu’elle y a travaillé : montrer la Palestine de tous les jours, certes faite de check-points et du mur, mais aussi de moment de banalités, de sourires, d’attentes sans tension, un peu comme le catalogue de Masarat l’aura déclarée « On ne manque de rien ici »… Une Palestine de gens normaux et ordinaires, et qui ne veulent rien d’autre que cela… En dehors de tous les clichés de violence… Une Palestine vécue, de tous les jours, de tous les instants et certainement destinée à l’éternité. Il y a beaucoup d’amour dans cette exposition, qui peut se lire comme une déclaration. Et le public ne s’y est pas trompé : il l’a prise comme telle !
Partenaires : Wallonie Bruxelles International, Consulat général de Belgique à Jérusalem, Centre Sakakini
Une bonne soixantaine de personnes s’étaient déplacée pour l’occasion, malgré le fait qu’au même moment avait lieu le spectacle de clôture des Journées internationales Al Manara de théâtre au Kasaba.
Parmi le public, on aura pu croiser une Leïla Chahid particulièrement en verve et qui a expliqué dans un discours son attachement à Véronique Vercheval, le Consul général de Belgique à Jérusalem, Charles-Etienne Lagasse, directeur de Wallonie Bruxelles International ou le député et éditeur Serge Hustache. Etait encore présente une délégation d’architectes menées par Patrice Neirinck et venue pour la concours de la Palestinian Circus School. Beaucoup de projets se sont esquissés au cours de ce vernissage et des réseaux de relations se sont consolidés.
L’exposition, fort étoffée avec 80 images d’un format conséquent, atteint parfaitement les objectifs que s’était donnés la photographe pendant les 8 ans qu’elle y a travaillé : montrer la Palestine de tous les jours, certes faite de check-points et du mur, mais aussi de moment de banalités, de sourires, d’attentes sans tension, un peu comme le catalogue de Masarat l’aura déclarée « On ne manque de rien ici »… Une Palestine de gens normaux et ordinaires, et qui ne veulent rien d’autre que cela… En dehors de tous les clichés de violence… Une Palestine vécue, de tous les jours, de tous les instants et certainement destinée à l’éternité. Il y a beaucoup d’amour dans cette exposition, qui peut se lire comme une déclaration. Et le public ne s’y est pas trompé : il l’a prise comme telle !
Partenaires : Wallonie Bruxelles International, Consulat général de Belgique à Jérusalem, Centre Sakakini
Images : Véronique Vercheval et Alaa Khanjar
Site : www.veroniquevercheval.net
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