En cette année 2009, le Printemps des poètes s’est joué an trois actes à Ramallah.
Le premier, le 11 mars, date officielle de ce Printemps des Poètes, une rencontre en arabe avec 3 jeunes poètes de Ramallah au Centre culturel français, orchestrée par Mohyddin Arar et Halah Kaileh en partenariat avec la Maison de la Poésie de Palestine, dans le cadre par ailleurs du Café littéraire mensuel du centre. Oqba Taha, Hala Al Shrouf et son époux, le jeune poète de Jénine, animateur à la radio Amwaj, Mohammad Dacca, sont venus lire leurs opus récents et répondre aux questions d’un public venu nombreux, et souvent déjà conquis. Invitée, Maya Abu Al Hayyat a dû annuler à la dernière minute sa venue du fait de la disparition d’un proche, et la lecture de l’un de ses poèmes par Zyad Tartir a ouvert la séance, en marque d’un hommage appuyé au talent de la jeune absente.
Le premier, le 11 mars, date officielle de ce Printemps des Poètes, une rencontre en arabe avec 3 jeunes poètes de Ramallah au Centre culturel français, orchestrée par Mohyddin Arar et Halah Kaileh en partenariat avec la Maison de la Poésie de Palestine, dans le cadre par ailleurs du Café littéraire mensuel du centre. Oqba Taha, Hala Al Shrouf et son époux, le jeune poète de Jénine, animateur à la radio Amwaj, Mohammad Dacca, sont venus lire leurs opus récents et répondre aux questions d’un public venu nombreux, et souvent déjà conquis. Invitée, Maya Abu Al Hayyat a dû annuler à la dernière minute sa venue du fait de la disparition d’un proche, et la lecture de l’un de ses poèmes par Zyad Tartir a ouvert la séance, en marque d’un hommage appuyé au talent de la jeune absente.
Le deuxième acte fut la projection le 19 mars au Département de Français de l'Université de Birzeit du film de Jean-Paul Fargier, "Cocteau et compagnie", qui fut l'occasion pour les étudiants de langue d'avoir une approche de la poésie contemporaine. Enfin dans ce même Département de Français, a été organisée le 21 mars une rencontre entre les étudiants, les enseignants et le poète franco-tunisien Tahar Bekri, qui après avoir fait une longue lecture de certains de ses textes dédiés à Palestine, a largement répondu aux questions des étudiants, sensiblement axées sur l'engagement politique du poète et ses années de prison.
Partenaires : Maison de la poésie de Palestine, Département de français de l'Université de Birzeit, Centre culturel français de Naplouse
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