La soir, toute le monde s'est retrouvé à Ramallah Tahta chez Juliana Irene Smith, qui devant un public d'intimes a lu un journal tout aussi intime, mêlant cependant fiction et biographie, découverte politique de la région et frasques amoureuses, le tout dans une intonation de jeune libertine californienne à la conquête sensuelle du Proche Orient. Un exercice que le Ginsberg des années 60' n'aurait en rien renié !
dimanche 12 juin 2011
/SI:N/, cinquième journée
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