Le documentaire « Terre de femmes » de Jean Chamoun a reçu ce lundi 28 février des applaudissements nourris de la part d’un public venu nombreux pour assister à la projection au Centre culturel français de Ramallah.
Ces applaudissements récompensent non seulement le travail de Jean Chamoun dont la justesse de ton donne toute sa dimension au récit, mais aussi et avant tout ils rendent hommage à ces femmes emblématiques qui, malgré l’horreur subi à la prison de Khiam, racontent avec tendresse comment grâce à de simples gestes elles ont survécu et surtout ont su rester humaines.
Bien que Kiffah Afifi raconte clairement les sévices qu’elle a endurés lors de son emprisonnement, reconnus et soulignés par Amnesty International, ce sont son sourire lumineux, les fou-rires partagés avec son ancienne compagne de cellule ainsi que l’écho de ce rire espiègle quand elle évoque avec une grâce toute adolescente la rencontre avec son mari que Jean Chamoun nous invite à garder précieusement comme pour célébrer la vie, tout simplement.
Ces applaudissements récompensent non seulement le travail de Jean Chamoun dont la justesse de ton donne toute sa dimension au récit, mais aussi et avant tout ils rendent hommage à ces femmes emblématiques qui, malgré l’horreur subi à la prison de Khiam, racontent avec tendresse comment grâce à de simples gestes elles ont survécu et surtout ont su rester humaines.
Bien que Kiffah Afifi raconte clairement les sévices qu’elle a endurés lors de son emprisonnement, reconnus et soulignés par Amnesty International, ce sont son sourire lumineux, les fou-rires partagés avec son ancienne compagne de cellule ainsi que l’écho de ce rire espiègle quand elle évoque avec une grâce toute adolescente la rencontre avec son mari que Jean Chamoun nous invite à garder précieusement comme pour célébrer la vie, tout simplement.
Texte de Corentine Obeuf
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