Une belle petite foule a rejoint Karim Debbah pour le vernissage de son exposition au centre culturel français de Ramallah, ce 7 décembre, et ainsi clore avec le Centre les célébrations de « Jérusalem, capitale culturelle du monde arabe 2009 ». Ont été remarqués, entre autres amis de Karim Debbah ou sa famille ou parmi les habitués du Centre, Ryma Sabbah et Joséphine Lama, le cinéaste George Khleifi, le directeur général du tout nouveau Mövempick et son épouse, Daniel et Marie-Claude Roche, le Dr Brahim Elladah et son épouse, le directeur de la compagnie de danse El Fennoun Khaled Katamesh ou la directrice du département de français à l’Université de Birzeit, Basma El Omari… Enfin, un magnifique petit concert d’une vingtaine de minutes a illustré ce vernissage, avec le fils de Karim Debbah, Achraf, à la guitare et au luth, Ramadan Khattab à la contrebasse et Lisebeth Debruyne au violon, pour un programme de musiques orientales et occidentales…
Il a été écrit concernant cette exposition : « Entrer dans le monde de Karim Debbagh, c’est un peu entrer dans le monde idéalisé d’une mémoire qui raconte la magie de l’enfance, des origines, de la pureté. Avec ses travaux, tant peints que sur céramique, on a envie de dire adieu aux problèmes de la mondialisation et de l’identité : tout résiste en lui, le geste est ancestral, séculier, a traversé les âges et les guerres : il est là, depuis toujours et éternel, palestinien.
Choisir cette exposition pour clore en douceur, mais avec une fermeté évidente, le cycle des événements « Jérusalem, capitale culturelle du Monde Arabe 2009 » n’est bien entendu pas innocent. C’est ainsi laisser la tribune à un personnage de l’histoire de la Palestine, parmi ceux qui en célèbrent le mieux l’identité, et cela au présent d’un artiste qui crée encore et toujours… C’est ramener toutes les conjugaisons possibles à cet unique aujourd’hui, fait d’hier et de demain, dans la conviction de savoir qui l’on est et pourquoi on est là : la force tranquille de Karim Debbagh, celle de la Palestine de tous temps ».
Photographies de Raouf Haj Yahya, dont la première est un portrait de Karim Debbah
Il a été écrit concernant cette exposition : « Entrer dans le monde de Karim Debbagh, c’est un peu entrer dans le monde idéalisé d’une mémoire qui raconte la magie de l’enfance, des origines, de la pureté. Avec ses travaux, tant peints que sur céramique, on a envie de dire adieu aux problèmes de la mondialisation et de l’identité : tout résiste en lui, le geste est ancestral, séculier, a traversé les âges et les guerres : il est là, depuis toujours et éternel, palestinien.
Choisir cette exposition pour clore en douceur, mais avec une fermeté évidente, le cycle des événements « Jérusalem, capitale culturelle du Monde Arabe 2009 » n’est bien entendu pas innocent. C’est ainsi laisser la tribune à un personnage de l’histoire de la Palestine, parmi ceux qui en célèbrent le mieux l’identité, et cela au présent d’un artiste qui crée encore et toujours… C’est ramener toutes les conjugaisons possibles à cet unique aujourd’hui, fait d’hier et de demain, dans la conviction de savoir qui l’on est et pourquoi on est là : la force tranquille de Karim Debbagh, celle de la Palestine de tous temps ».
Photographies de Raouf Haj Yahya, dont la première est un portrait de Karim Debbah
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